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Articles relatifs aux parcours des mères porteuses et à leurs points de vue
la gestation pour autrui est procédure complexe. Il ne faut pas chercher à évacuer cette complexité ou croire en des arguments commerciaux simplistes promettant un bébé rapidement et sans heurts. A l’inverse, il faut pouvoir comprendre tout ce qu’avoir recours à une mère porteuse implique pour pouvoir prendre une décision murie.
Lorsqu’on parle de GPA en France, l’exemple de l’Amérique-du-Nord est souvent érigé en modèle d’une GPA éthique. Quelles sont les différences entre la gestation pour autrui aux USA et au Canada ?
Mercredi 9 février dernier, France 2 lançait en prime time une soirée spéciale gestation pour autrui avec la diffusion du téléfilm « qu’est-ce qu’elle a ma famille ? » inspiré du livre éponyme de Marc-Olivier Fogiel suivi d’un débat et d’un documentaire sur la GPA
Ashley Mareko, responsable du suivi des femmes porteuses dans une agence et contributrice à l’initiative GPA USA partage dans cet article les raisons qui l’ont poussé à devenir mère porteuse et l’état d’esprit qu’elle a adopté pour mener à bien…
C’est la question que se posent les parents d’intention lorsqu’ils envisagent un parcours de gestation pour autrui (GPA). Combien auront-ils besoin de prévoir sur leur compte en banque ?
Myriam est coordinatrice des admissions et des candidatures des mères porteuses pour Surrogate First, une agence de femmes porteuses aux Etats-Unis. Elle raconte dans cet entretien son travail quotidien d’examen des candidatures de mères porteuses
Comment comprendre et respecter les différentes convictions des femmes porteuses américaines par rapport à l’IVG
L’ouverture à la GPA des pays d’Amérique latine dont le Mexique rendent désormais ces destinations plus accessibles qu’auparavant pour les couples internationaux. Pourtant, il subsiste de grandes différences entre ces parcours.
