Les États-Unis : pionniers de la GPA dans le monde

GPAUSA · Guide et accompagnement

Gestation pour autrui aux Etats-Unis : guide pratique 2025

2024-03-30 · ~16 min de lecture

La gestation pour autrui (GPA) aux États-Unis représente aujourd’hui l’un des parcours les plus fiables, les plus encadrés et les plus prévisibles pour les futurs parents internationaux. Grâce à un cadre juridique stable, un système médical de pointe et des professionnels spécialisés, les États-Unis sont devenus une destination de référence pour celles et ceux qui souhaitent fonder une famille dans un environnement sûr et transparent.

Ce guide complet propose une vue d’ensemble structurée du fonctionnement de la GPA américaine : cadre légal, critères pour devenir mère porteuse, étapes médicales de la FIV, coûts, délais, choix des États favorables, assurances, risques et logistique pour les futurs parents français.

Bon à savoir : plus de 36 000 cycles de FIV sont réalisés chaque année aux États-Unis dans le cadre de GPA ou de dons d’ovocytes (source : CDC). Les taux de réussite figurent parmi les plus élevés au monde.

Frise chronologique du parcours GPA aux États-Unis

Votre projet de parentalité avec GPAUSA

1. Préparation & orientation (2–4 semaines)
Analyse du projet, vérification médicale, définition du budget, choix de l’État US où réaliser la GPA.

2. Matching avec la mère porteuse (1–3 mois)
Rencontre, validation mutuelle, synchronisation des dossiers par l’agence et la clinique.

3. Procédure FIV & création des embryons (4–7 semaines)
FIV aux États-Unis ou en France puis envoi des embryons. Tests génétiques (PGT-A) souvent recommandés.

4. Transfert embryonnaire (selon cycle)
Préparation médicale de la gestatrice, transfert puis confirmation de grossesse.

5. Suivi de grossesse & assurances (9 mois)
Échographies, suivi obstétrical, coordination juridique et administrative.

6. Naissance & démarches légales (2–6 semaines)
Obtention de l’acte de naissance US puis demande de passeport américain.

Échange confidentiel : un membre francophone de l’équipe GPAUSA peut vous aider à estimer votre budget et orienter votre projet. Planifier un appel

Comprendre le cadre légal de la GPA aux États-Unis

Contrairement à l’Europe où la GPA est soit interdite (France, Italie, Espagne), soit strictement limitée (Portugal, Grèce), les États-Unis disposent d’un cadre juridique clair, stable et protecteur. Les règles varient d’un État à l’autre, mais une quinzaine d’États offrent un environnement explicitement « GPA-friendly ».

Les États américains favorables à la GPA

ÉtatLégalitéProfil acceptéSécurité juridique ★
CalifornieGPA commerciale autoriséeTous profils★★★★★
NevadaTrès favorableTous profils★★★★☆
OregonGPA commerciale autoriséeTous profils★★★★★
ColoradoLoi 2021 très favorableTous profils★★★★★

→ Pour le détail État par État : États autorisant la GPA.

La partie médicale : FIV, tests et critères stricts

Les cliniques américaines appliquent des protocoles stricts : tests génétiques, évaluation hormonale, imagerie, analyse des antécédents obstétricaux. Selon les données SART 2024, le taux de naissance vivante après transfert d’embryon euploïde (PGT-A) dépasse 60 % pour les femmes porteuses.

Critères obligatoires pour une mère porteuse aux USA

  • Avoir déjà eu au moins une grossesse sans complication majeure
  • Être âgée de 21 à 42 ans
  • IMC généralement inférieur à 32
  • Pas d’addiction, pas de troubles psychiatriques sévères
  • Revenus stables & bilan social favorable
  • Antécédents médicaux compatibles avec une grossesse sécurisée
À noter : les cliniques refusent 65 à 80 % des candidates selon les années, garantissant un niveau de sélection exceptionnellement élevé.

La FIV aux États-Unis

Lorsqu’un don d’ovocytes est nécessaire, les donneuses américaines passent par une sélection stricte (tests génétiques étendus, antécédents, évaluation psychologique). Pour approfondir : FIV & don d’ovocytes.

Combien coûte une GPA aux États-Unis en 2025 ?

Les États-Unis sont transparents sur les coûts : aucune promesse irréaliste, aucun prix artificiellement bas. Le budget varie selon l’État, la clinique, l’assurance et les aléas médicaux.

Poste de dépenseFourchette (€)
FIV + création embryons16 000 – 25 000
Compensation mère porteuse38 000 – 55 000
Agence GPA20 000 – 30 000
Assurance maternité18 000 – 35 000
Honoraires d’avocats7 000 – 14 000

→ Détail complet : Coût d’une GPA aux USA

Logistique pour les parents d’intention français

Durée totale du parcours

  • 12 à 20 mois en moyenne pour une GPA complète
  • Une naissance nécessite une présence sur place de 3 à 6 semaines
  • Obtention du passeport US en 7 à 21 jours

Conseils pratiques

  • Prévoir un budget supplémentaire de 10–15 % pour les imprévus
  • Sélectionner un État où les procédures post-naissance sont rapides
  • Prévoir un hébergement flexible ±2 semaines autour du terme
  • Utiliser des assurances voyage incluant les soins néonataux
Attention : éviter les pays proposant des GPA à très bas coût sans cadre légal solide. Ces parcours génèrent chaque année des situations complexes pour les familles françaises.

Pourquoi choisir les États-Unis ? Les avantages clés

  • Sécurité juridique exceptionnelle dans 15 États
  • Taux de réussite FIV parmi les plus élevés au monde (CDC)
  • Grossesses très surveillées et accès aux meilleures maternités
  • Protection de la mère porteuse : suivi psychologique + couverture médicale
  • Reconnaissance internationale des contrats de GPA américains
  • Accompagnement professionnel : coordonnateurs, avocats, agences, assurances

Pour aller plus loin

PRIX MERE PORTEUSE COUT

Vous souhaitez clarifier votre parcours GPA/FIV ?

Nous vous aidons à comprendre les étapes, les délais, les coûts et les options adaptées à votre situation. Un accompagnement fiable, structuré et conforme aux référentiels SART/CDC.

Prendre un entretien confidentiel

Et après une gestation pour autrui aux Etats-Unis ?

Gestation pour autrui en France : loi, jurisprudence et options pour les familles en 2025

France · Droit · GPA à l’étranger

En France, la gestation pour autrui reste formellement interdite, alors même que de plus en plus de familles françaises accueillent des enfants nés par GPA à l’étranger. Entre interdiction, tolérance de certaines situations et évolution de la jurisprudence, il est difficile de s’y retrouver sans un fil conducteur clair.

Ce guide se concentre sur la situation en France : ce que dit la loi, comment les tribunaux traitent les actes de naissance établis à l’étranger, quelles sont les marges de manœuvre pour les parents d’intention français, et comment articuler un projet de GPA internationale avec le droit français.

Comprendre le retour en France après une GPA
Décryptage des démarches concrètes pour les familles françaises, étape par étape.

Ce que dit la loi française sur la gestation pour autrui

Le droit français affirme deux principes forts : la non-disponibilité du corps humain et la non-marchandisation de la filiation. Dans ce cadre, toute convention par laquelle une femme s’engage à porter un enfant pour autrui est considérée comme nulle.

Concrètement, cela signifie que la GPA ne peut être organisée ni réalisée sur le territoire français, même si toutes les parties sont consentantes. Les contrats de gestation pour autrui ne produisent aucun effet en France.

À retenir en pratique
  • Les conventions de GPA sont nulles en droit français (elles n’ont pas d’effet juridique).
  • Organiser ou servir d’intermédiaire pour une GPA peut entraîner des sanctions pénales.
  • Les parents d’intention ne risquent pas une peine de prison pour avoir eu recours à une GPA à l’étranger, mais des difficultés administratives peuvent survenir.
Important L’interdiction porte sur la réalisation de la GPA en France, pas sur le fait d’accueillir un enfant né légalement à l’étranger. C’est toute la nuance : la GPA reste prohibée comme pratique, mais les enfants ne peuvent pas être privés d’existence juridique.

Comment la France traite les enfants nés par GPA à l’étranger

Depuis une dizaine d’années, la jurisprudence française a profondément évolué. Sous l’impulsion de la Cour européenne des droits de l’homme, la Cour de cassation a progressivement admis la transcription partielle, puis plus largement la reconnaissance du lien de filiation établi à l’étranger, même en l’absence de lien biologique avec l’un des parents d’intention.

Frise simplifiée des grandes étapes de la jurisprudence

1994
Loi bioéthique

Inscription dans le Code civil de l’interdiction des conventions de GPA et affirmation du principe d’ordre public.

2014
Condamnation par la CEDH

La France est condamnée pour refus systématique de transcription d’actes de naissance d’enfants nés par GPA à l’étranger.

2015–2019
Transcription partielle

Reconnaissance progressive du parent biologique, puis ouverture à des schémas plus complexes via l’adoption.

2021
Nouvelle loi bioéthique

Clarification du contrôle exercé sur les actes étrangers, tout en maintenant l’interdiction de la GPA en France.

2024
Arrêts de la Cour de cassation

Reconnaissance possible du lien de filiation avec un parent d’intention sans lien biologique, sous conditions de garanties suffisantes.

Reconnaissance de la filiation : grandes lignes pratiques
SituationCe qui est généralement envisagéPoints de vigilance
Un parent a un lien biologique (sperme ou ovocyte)Transcription possible de l’acte de naissance étranger pour le parent biologique.Vérifier la conformité de l’acte et de la décision étrangère au regard de l’ordre public français.
Aucun lien biologique avec l’enfantReconnaissance plus encadrée : examen du sérieux de la procédure étrangère, du consentement de la mère porteuse, de la protection de l’enfant.Nécessité d’un accompagnement juridique solide, notamment pour anticiper l’exequatur de décisions étrangères.
Deux parents d’intention de même sexePossibilité de reconnaissance du lien de filiation avec les deux parents, sous conditions, à la suite des décisions récentes.Contrôle renforcé des juridictions françaises, documentation détaillée indispensable.
Ressources à consulter Pour aller plus loin, vous pouvez consulter notre article dédié au retour en France après une GPA aux États-Unis , ainsi que notre page sur l’interdiction de la GPA en droit français .

Les principaux débats éthiques et politiques en France

Même si le droit évolue sur la reconnaissance des enfants, la France reste divisée sur la GPA. La question ne se limite pas à un débat religieux ou politique : elle touche à la conception même du corps, de la maternité et de la filiation.

Trois tensions reviennent régulièrement dans les débats :

  • la peur d’une marchandisation du corps des femmes ;
  • la volonté de protéger les enfants nés de ces pratiques, quelles que soient les opinions ;
  • la nécessité de respecter les libertés individuelles et les projets de vie des familles.
Deux visions qui s’opposent souvent
  • Vision restrictive : la GPA est incompatible avec les principes français, même si elle est encadrée.
  • Vision pragmatique : la GPA existe de fait à l’étranger, il faut sécuriser les parcours et protéger toutes les parties, en particulier les enfants.
Bon à savoir Les évolutions les plus marquantes ne viennent pas toujours d’une loi nouvelle, mais des décisions de justice qui affinent progressivement la position française. Suivre l’actualité jurisprudentielle est donc aussi important que suivre les annonces politiques.

Quelles options concrètes pour les familles françaises ?

Face à l’interdiction de la GPA en France, les familles intéressées par cette voie n’ont que des solutions à l’étranger. L’enjeu est alors de combiner un cadre légal sécurisé dans le pays choisi avec une reconnaissance la plus fluide possible en France.

Les grandes étapes d’un projet compatible avec le droit français
  • Choisir un pays où la GPA est clairement encadrée (États-Unis, Canada, certains pays européens).
  • Privilégier des États ou régions habitués aux dossiers de familles françaises.
  • Travailler avec des avocats spécialisés sur le pays de naissance et sur le droit français.
  • Préparer dès le départ les démarches de transcription et de filiation au retour.
Erreurs fréquentes à éviter
  • se baser uniquement sur des témoignages trouvés sur les réseaux sociaux sans vérification juridique ;
  • choisir une destination en fonction du seul prix affiché, sans se demander comment l’enfant sera reconnu en France ;
  • démarrer des démarches avec plusieurs agences ou intermédiaires non coordonnés ;
  • signer des contrats en langue étrangère sans explication détaillée ni avocat de confiance.

Questions fréquentes sur la GPA et le droit français

La GPA est-elle toujours interdite en France ?

Oui, la réalisation d’une GPA en France reste interdite. Ce qui évolue, ce n’est pas la possibilité de faire une GPA en France, mais la manière dont les enfants nés légalement à l’étranger sont reconnus et protégés.

Peut-on perdre la garde d’un enfant né par GPA à l’étranger ?

Non, la jurisprudence récente va au contraire dans le sens d’une meilleure protection des enfants. Les juridictions françaises cherchent à sécuriser leur statut, à condition que le parcours respecte un minimum de garanties dans le pays de naissance.

Faut-il obligatoirement un lien biologique avec l’un des parents ?

Historiquement, la reconnaissance passait d’abord par le parent biologique. Les décisions les plus récentes ouvrent la porte à des schémas où il n’y a pas nécessairement de lien génétique, à condition que la procédure étrangère soit solide et protectrice. Un avis juridique personnalisé reste indispensable.

Par où commencer quand on vit en France ?

Le plus simple est d’abord de clarifier votre profil (couple d’hommes, couple hétéro, femme seule, homme seul), votre budget cible et votre horizon de temps, puis de discuter avec un coordinateur habitué aux dossiers français pour identifier les pays les plus adaptés et les étapes juridiques à anticiper.

video
play-sharp-fill

FAQ – Gestation pour autrui aux États-Unis

Qu’est-ce que la GPA aux États-Unis ?

La gestation pour autrui (GPA) aux États-Unis désigne un parcours médical et juridique encadré dans lequel une femme porte un enfant pour un ou plusieurs parents d’intention. Le modèle américain repose sur la GPA gestationnelle, c’est-à-dire sans lien génétique entre la mère porteuse et l’enfant. Ce fonctionnement, associé à un cadre légal solide, explique pourquoi les États-Unis restent la destination privilégiée des Français.


La GPA est-elle légale aux États-Unis ?

Oui. Plusieurs États américains autorisent la GPA encadrée, notamment :

  • Californie
  • Oregon
  • Nevada
  • Colorado
  • District of Columbia
  • Arkansas
  • New Hampshire

Chaque État applique ses propres règles, mais les États cités ci-dessus garantissent un cadre juridique clair, protecteur et reconnu par les juridictions françaises.

agence de gpa etats unis

Quel est le coût d’une GPA aux États-Unis ?

Le coût moyen d’un parcours complet se situe généralement entre 110 000 € et 160 000 €, selon l’État, le type d’assurance maternité, la clinique et les imprévus médicaux éventuels.

Fourchette détaillée :

  • FIV + embryologie : 16 000 à 25 000 €
  • Compensation de la mère porteuse : 38 000 à 55 000 €
  • Agence de GPA : 20 000 à 30 000 €
  • Assurance maternité : 18 000 à 35 000 €
  • Frais juridiques US + France : variables selon l’État
  • Soins néonataux éventuels : coûts très variables

Pour éviter les tensions financières, les professionnels recommandent une marge de 10 à 15 % supplémentaire pour les imprévus.


Qui peut faire une GPA aux États-Unis ?

Les États GPA-friendly acceptent tous les profils :

  • couples hétérosexuels (infertilité, absence d’utérus…)
  • couples d’hommes
  • couples de femmes (rare selon les États, mais possible dans certains cas de double don)
  • hommes seuls
  • femmes seules

Cette inclusivité constitue un avantage majeur par rapport au Canada, à la Grèce ou à l’Ukraine.


Comment les mères porteuses sont-elles sélectionnées ?

Les États-Unis appliquent l’un des processus de sélection les plus stricts au monde.
Critères médicaux et sociaux :

  • grossesse(s) antérieure(s) sans complication
  • âge entre 21 et 42 ans
  • IMC < 32
  • non-fumeuse
  • pas d’antécédent d’addiction
  • stabilité familiale et financière
  • évaluation psychologique obligatoire
  • motivation clairement altruiste

Les cliniques vérifient également les antécédents gynécologiques et obstétricaux, car leur responsabilité médicale est engagée.


Combien de temps dure un parcours complet ?

En moyenne 12 à 20 mois, répartis comme suit :

  • préparation + évaluation du dossier : 1 à 2 mois
  • matching avec la mère porteuse : 1 à 4 mois
  • FIV et création des embryons : 1 à 2 mois
  • transfert embryonnaire : variable selon la clinique
  • grossesse : 9 mois
  • démarches administratives + passeport US : 2 à 6 semaines après la naissance

Pourquoi le taux de réussite de la FIV est-il plus élevé aux États-Unis ?

Les États-Unis s’appuient sur :

  • les technologies avancées (IA, EmbryoScope, PGT-A)
  • une sélection stricte des mères porteuses
  • des laboratoires spécialisés en embryologie
  • des standards médicaux élevés (CDC, ASRM)

Ces facteurs combinés permettent d’atteindre un taux moyen de 60 % de naissances vivantes par embryon euploïde transféré, selon les données du CDC.


Quels sont les principaux risques à anticiper ?

Même si le cadre américain est très sécurisé, certains risques doivent être anticipés :

  • complications médicales (grossesse multiple, prématurité, césarienne)
  • possible transfert embryonnaire non réussi
  • coûts de néonatalogie en cas de prématurité
  • retards administratifs pour passeport ou acte de naissance

La constitution d’une réserve financière de 10 à 15 % est vivement recommandée.


Comment la France reconnaît-elle les enfants nés par GPA aux États-Unis ?

En France, l’acte de naissance américain est généralement :

  • transcrit partiellement (parent biologique reconnu d’office),
  • ou transcrit totalement lorsque la décision étrangère établissant la filiation est régulière.

Depuis les arrêts de la Cour de cassation (2024), l’absence de lien biologique n’est plus un obstacle à la reconnaissance d’une filiation légalement établie à l’étranger.


Dois-je obligatoirement passer par une agence ?

Oui, dans la quasi-totalité des États GPA-friendly.
Les agences assurent :

  • le recrutement et la sélection des mères porteuses
  • la gestion administrative
  • la coordination médicale et juridique
  • le suivi du « matching »
  • le respect des lois de l’État

Les projets tentés « sans agence » sont extrêmement risqués juridiquement et quasiment impossibles dans la pratique.

gpa usa

Quels États américains sont les plus favorables à la GPA ?

États GPA-friendly reconnus :

  • Californie (référence mondiale)
  • Nevada
  • Oregon
  • Washington
  • Colorado
  • Arkansas
  • New Hampshire

Ces États offrent des lois stables, une jurisprudence claire, et un cadre protecteur pour toutes les parties.


Existe-t-il une limite d’âge pour faire une GPA ?

Il n’existe pas de limite d’âge nationale, mais chaque clinique américaine impose ses propres règles.

En moyenne :

  • pour les femmes recevant un don d’ovocytes : jusqu’à 52–54 ans
  • pour les hommes seuls : aucune limite stricte mais examen médical nécessaire

Les cliniques évaluent toujours la capacité des parents à accueillir un enfant dans de bonnes conditions.


La GPA américaine est-elle éthique ?

Le modèle américain repose sur :

  • la protection du consentement de la mère porteuse
  • l’absence de lien génétique
  • l’encadrement juridique strict
  • la liberté contractuelle
  • la rémunération transparente
  • le contrôle médical approfondi

Comparé à d’autres pays, il s’agit du modèle offrant le plus haut standard de protection.

Besoin d’y voir clair sur votre projet ?

Nous vous aidons à comprendre les étapes médicales, juridiques et pratiques de votre parcours de GPA ou de FIV aux États-Unis.

  • Décoder les étapes clés et les intervenants
  • Comparer les options et les niveaux de sécurité
  • Préparer vos questions avant un échange personnalisé
Parler de mon projet