infertilité

Face à l’infertilité, chaque parcours est unique, mais les questions se ressemblent : pourquoi cela ne fonctionne-t-il pas ? Quelles solutions médicales existent ? Où les soins sont-ils les plus efficaces, accessibles, sécurisés ?

Pour les personnes francophones, ces interrogations sont d’autant plus pressantes que les réponses varient considérablement selon le pays de résidence. Cet article vise à éclairer les causes principales de l’infertilité, présenter les solutions disponibles — notamment la procréation médicalement assistée (PMA), le don de gamètes et la gestation pour autrui (GPA) — et comparer les approches entre la France, l’Espagne, les États-Unis et d’autres pays clés.

L’objectif ? Offrir un contenu à forte valeur ajoutée, rassurant, précis et actionnable pour vous aider à avancer dans votre projet parental, en toute connaissance de cause.

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Comprendre les causes de l’infertilité : entre biologie, environnement et société

L’infertilité touche environ 1 couple sur 6 dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle est définie comme l’incapacité à concevoir après 12 mois de rapports sexuels réguliers sans contraception. Si les causes médicales sont bien documentées, elles n’expliquent pas à elles seules l’augmentation des parcours de PMA ou de GPA.

Causes féminines les plus fréquentes

Chez les femmes, les principaux facteurs sont :

  • L’âge : la fertilité diminue nettement après 35 ans. En France, l’âge moyen du premier enfant dépasse désormais 30 ans.
  • L’endométriose : cette maladie gynécologique chronique touche environ 1 femme sur 10 et peut altérer la qualité des ovocytes ou gêner la nidation.
  • Les troubles de l’ovulation : comme le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK).
  • Des anomalies utérines ou des séquelles infectieuses, parfois liées à des IVG ou IST mal soignées.
causes infertilité couple

Causes masculines souvent sous-estimées

Chez l’homme, on retrouve :

  • Une altération du sperme (quantité, mobilité, forme).
  • Des troubles hormonaux ou infectieux.
  • Une exposition environnementale aux pesticides ou perturbateurs endocriniens.
  • Une hygiène de vie dégradée : stress chronique, tabac, chaleur excessive, surpoids.

Selon l’INSERM, dans près de 40 % des cas, les deux partenaires présentent une cause contributive.

Facteurs sociétaux et environnementaux

Au-delà des diagnostics médicaux, d’autres éléments influencent aussi fortement la fertilité :

  • Le report du projet parental pour raisons économiques, professionnelles ou personnelles.
  • Une accès inégal à la PMA : en France, il reste réservé aux femmes jusqu’à 43 ans.
  • Une attente légale obligatoire (parfois injustifiée) ou des délais publics excessifs.
  • Des politiques publiques restrictives sur le don d’ovocytes, comme par exemple l’interdiction de rémunération en France, qui limite ainsi les donneuses disponibles.

👉 Pour découvrir un cadre plus souple et efficace, explorez aussi le cadre légal du don d’ovocytes aux États-Unis, souvent cité pour sa sécurité, sa diversité et sa rapidité.

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Une urgence démographique et sociale

La question de l’infertilité s’inscrit aussi dans un contexte plus large : celui du recul historique de la natalité en France. Selon l’INSEE, seulement 678 000 bébés sont nés en 2023, soit le chiffre le plus bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce déclin s’explique par plusieurs facteurs : report de l’âge de la maternité, difficultés économiques, précarité affective, mais aussi problèmes médicaux croissants liés à la fertilité.

Face à cette réalité, il devient crucial d’informer, de soutenir et de proposer des alternatives concrètes aux personnes confrontées à un désir d’enfant contrarié. La procréation médicalement assistée (PMA), le don d’ovocytes et la gestation pour autrui (GPA), lorsqu’ils sont bien encadrés, peuvent donc contribuer à répondre à cet enjeu sociétal majeur.

Comparatif international : France, Espagne, États-Unis… des réponses inégales à l’infertilité

Si les causes de l’infertilité sont universelles, les solutions proposées varient aussi fortement d’un pays à l’autre. Délais d’attente, accès aux donneuses, légalité de la GPA… ces éléments influencent directement les chances de réussite d’un projet parental. Voici donc un aperçu comparatif des solutions existantes.

France : des soins de qualité, mais un accès limité

En France, l’Assistance Médicale à la Procréation (AMP) est remboursée par la Sécurité sociale. Toutefois, l’accès au don d’ovocytes reste très contraint : peu de donneuses, liste d’attente parfois supérieure à 18 mois, anonymat obligatoire, et interdiction de rémunération. De plus, la GPA est formellement interdite.

➡️ Voir aussi : FIV avec don d’ovocytes aux États-Unis

Espagne : flexibilité mais anonymat imposé

L’Espagne est donc souvent une destination de choix par les francophones en quête de don d’ovocytes plus rapide. Les cliniques sont performantes, l’accueil est bon… mais l’anonymat absolu de la donneuse est imposé par la loi. Aucun contact n’est possible, même ultérieur, ce qui peut ainsi poser des questions sur la traçabilité biologique pour l’enfant.

États-Unis : personnalisation, choix, sécurité

Les États-Unis proposent l’offre la plus complète et sécurisée :

  • Accès au don d’ovocytes non anonyme (photos, historique médical, traits de personnalité…).
  • Liberté de choix de la donneuse.
  • Légalité de la GPA dans de nombreux États comme la Californie.
  • Encadrement juridique strict, reconnu à l’international.
  • Possibilité d’intégrer les tests génétiques (PGT-A) pour maximiser les chances de réussite.

➡️ Voir aussi : Comment choisir une donneuse

Source :

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Les solutions médicales proposées aux États-Unis : efficacité, technologie et personnalisation

Face à l’infertilité, les cliniques de fertilité américaines proposent un éventail de solutions combinant rigueur scientifique, innovations technologiques et personnalisation du traitement. Ce modèle attire de plus en plus de francophones, notamment lorsque les options locales sont limitées.

FIV, ICSI, Mini-FIV : adapter la technique au profil

La Fécondation In Vitro (FIV) reste la méthode de référence. Elle peut être associée à :

  • ICSI (injection intracytoplasmique du spermatozoïde), utile en cas d’infertilité masculine sévère.
  • Mini-FIV ou FIV naturelle, avec des doses réduites de stimulation hormonale, souvent choisie par les femmes de plus de 40 ans ou en insuffisance ovarienne.

Les protocoles sont ajustés en fonction du bilan hormonal, de la réserve ovarienne et du projet parental.

Don de gamètes : diversité, transparence, accessibilité

Les États-Unis permettent un accès rapide et libre au don d’ovocytes ou de sperme. Contrairement à la France, le don peut être :

  • non anonyme : avec dossier complet de la donneuse ou du donneur (photos, antécédents, traits de personnalité…),
  • semi-ouvert ou ouvert, avec possibilité de contact futur.

👉 En savoir plus : Don d’ovocytes aux États-Unis
👉 Choisir une donneuse : Profil, critères, matching

Tests génétiques et suivi embryonnaire de pointe

Les cliniques proposent des technologies avancées :

  • PGT-A : pour dépister les anomalies chromosomiques avant implantation.
  • EmbryoScope® : un incubateur avec caméra intégrée pour analyser le développement embryonnaire en continu.
  • Matching génétique : pour éviter les transmissions de maladies récessives.

Ces options améliorent le taux d’implantation, réduisent le risque de fausse couche et augmentent les chances de grossesse dès le premier transfert.

Intégration possible à une GPA

Pour les femmes sans utérus fonctionnel, les couples d’hommes ou les situations post-cancer, la FIV avec don peut être intégrée à un parcours de gestation pour autrui. Les cliniques et agences américaines assurent la coordination complète entre :

  • donneuse d’ovocytes,
  • mère porteuse,
  • parents d’intention,
  • avocats spécialisés.

👉 Voir : Contenu du contrat de GPA aux États-Unis

mère porteuse

S’entourer des bons experts : l’accompagnement au cœur du succès

Un parcours de fertilité, qu’il repose sur une FIV, un don de gamètes ou une GPA, ne se limite pas à une dimension technique. Il implique des enjeux émotionnels, logistiques et juridiques majeurs. Être bien entouré, dès les premières démarches, fait toute la différence.

Un suivi médical et psychologique personnalisé

Aux États-Unis, les cliniques intègrent souvent :

  • Des infirmier·es coordinateur·rices pour suivre le protocole pas à pas,
  • Un support psychologique adapté aux receveuses, aux donneuses et aux mères porteuses,
  • Des consultations régulières pour ajuster le traitement en temps réel.

Ce niveau d’attention permet de limiter le stress, de prévenir les blocages médicaux et de favoriser l’adhésion au traitement.

L’accompagnement juridique

Tout projet à l’international doit être juridiquement sécurisé. Cela inclut :

  • La signature de contrats clairs avec les donneuses et/ou les mères porteuses,
  • La protection des droits parentaux des futurs parents,
  • L’anticipation du retour légal dans le pays d’origine (France, Suisse, Belgique…).

👉 GPAUSA propose un réseau d’avocats spécialisés dans le droit de la filiation internationale, en lien avec les règles locales et les conventions bilatérales.

Une coordination francophone dédiée

Parce que la barrière de la langue et les différences culturelles peuvent être sources d’incompréhension, GPAUSA offre :

  • Un accompagnement 100 % en français à chaque étape,
  • Un interlocuteur unique de la première prise de contact jusqu’au retour dans le pays d’origine,
  • Des services personnalisés, selon le profil (femme seule, couple homosexuel, couple hétéro…).

👉 Contactez un coordinateur francophone via info@gpausa.org

Agir face à l’infertilité, en toute connaissance

L’infertilité touche des millions de personnes dans le monde. Mais aujourd’hui, des solutions médicales existent, accessibles, encadrées, et souvent plus efficaces à l’étranger qu’en France. États-Unis, Espagne, Belgique, Grèce… selon le profil et le projet parental, chaque pays offre des avantages spécifiques.

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